L’analphabétisme tient les personnes concernées dans une impossibilité de manier la langue parce qu’elles ne sont pas allées à l’école. Elles n’ont pas appris “à apprendre” et elles se laissent influencer par l’impression que “les autres” savent, ce qui induit souvent chez elles une certaine passivité répertoriée “complexes”.
Le retard scolaire est le plus souvent causé par un traumatisme chez l’enfant qui n’a pas encore résolu ses problèmes liés à l’Oedipe ou qui est tenu par les mailles d’une pathologie familiale.
L’arriération mentale, nous dirons pour aller vite qu’elle est le résultat aussi bien d’un héritage génétique (comme la “trisomie 21” ou l’alcoolisme) que d’un trauma non résolut concernant l’Oedipe. C’est aussi le fourre-tout où sont répertoriés tous les handicaps que la médecine ne parvient pas à soigner ( dyslexie, mutisme, anorexie, boulimie, autisme, etc…).
L’autisme, aucun événement symbolique n’a permis l’émergence d’un « Autre » séparé d’eux. Ils sont cet Autre où du sujet est sans cesse renvoyé à l’extérieur. L’enfant qui en souffre est comme déjà toujours mort, c’est-à-dire comme étant investit, dans le Réel, par la mort.
L’illettrisme, nous avons tenté d’en approcher les symptômes et nous affirmons qu’ils ont pour base une non inscription, un non enregistrement de la sexuation symbolique.
Ces diverses situations entraînent d’ailleurs également tout un éventail de pathologies administratives.